« La foi qui m’a été donnée au baptême, d’une voix sûre me suggère : par toi-même tu ne feras rien, mais si tu prends Dieu pour centre de toutes tes actions, alors tu arriveras au but. » (Lettre à I. Bonini, 15 janvier 1925)
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« La violence sème la haine, et de ses fruits on ne retire que des résultats négatifs. La charité apporte la paix aux hommes, pas celle de ce monde, mais la vraie paix que seule la foi en Jésus-Christ peut nous apporter, en nous unissant les uns aux autres. » (Lettre aux universitaires catholiques).
« Tu me demandes si je suis joyeux. Comment pourrais-je ne pas l’être ? Aussi longtemps que la foi m’en accordera la force, je resterai toujours joyeux. La tristesse devrait être bannie des cœurs catholiques. La douleur n’est pas la tristesse, qui est une maladie la pire de toute, car elle est presque toujours le fruit de l’athéisme. Mais le but pour lequel nous avons été créés nous montre que, même si la voie est semée de beaucoup d’épines, cette voie n’a rien de triste. » (Lettre à sa sœur Luciana, 14 février 1925)
« En ces moments douloureusement tragiques, où le sol de votre patrie est piétiné par des soldats étrangers…, nous, étudiants catholiques, vous envoyons à tous l’expression d’un amour fraternel. » (Lettre aux étudiants allemands, 12 janvier 1923)
« L’apôtre saint Paul dit “la charité du Christ nous presse”, et sans ce feu, qui peu à peu doit détruire notre moi afin de nous faire vibrer seulement aux douleurs des autres, nous ne serions pas chrétiens et encore moins catholiques. » (Lettre à la Jeunesse catholique de Pollone, 29 juillet 1923)
« Le vrai bonheur, mes chers amis, ne consiste pas dans les plaisirs du monde ou dans les choses terrestres, mais dans la paix de la conscience, que nous ne pouvons obtenir que si nous sommes purs de cœur et d’esprit. » (Lettre à la Jeunesse catholique de Pollone, 29 juillet 1923)
« Vivre sans la foi, sans un patrimoine à défendre, sans soutenir dans une lutte continue la vérité, ce n’est pas vivre mais végéter. Nous, nous ne devons jamais végéter, mais vivre. » (Lettre à I. Bonini, 27 février 1925).
« Mes meilleurs vœux, ou même un seul, mais je crois que c’est le seul qu’un véritable ami puisse faire à celui qui lui est cher : que la paix du Seigneur soit toujours avec toi, car si tu possèdes chaque jour la paix, tu seras vraiment riche. » (Lettre à M. Beltramo, 10 avril 1925)